Parce que ça fait du bien et que c'est important... voici une petite carte d'amour
mercredi 28 novembre 2012
lundi 26 novembre 2012
DES FLAMANTS ROSES DANS LA VILLE
J’ai
remarqué il y a quelques semaines cette drôle de tendance du flamant rose dans
la mode, cet intérêt particulier pour l’oiseau.
Pour
Céline dans les pages des magazines, d’abord, puis dans les vitrines des
Galeries Lafayette créées par Louis Vuitton,…
Quelle
est la place du flamant rose dans la mode ? Y-a-t-il un message
particulier ? Faut-il s’en procurer ?
Je
vois des flamants roses un petit peu partout et ça me laisse perplexe.mardi 13 novembre 2012
CHEZ MALO
Allez, allez, on se concentre
bien fort, on allume des cierges et tous les jours, s’il vous plait !
OUI, j’ai le droit de rêver.
OUI, je fais déjà la déco de mon
futur appart, pour visualiser et forcer un peu le destin !
Une lampe Pipistrello par-ci, une
chaise Eames par-là, une suspension chapeau-melon dans l’entrée et hop, un SMEG
dans la cuisine !
C’est pas beau chez Malo ?
Bientôt, j’attaque le dressing…
Aïe !
lundi 12 novembre 2012
UN MARATHON MAN + UN FORREST GUMP
Un MARATHON MAN + Un
FORREST GUMP = UNE PAIRE DE BASKET* !
Quel plaisir de
revoir ces deux films, vraiment, je me suis régalée**.
J’en ai profité pour
sauter dans mes baskets et me mettre dans la peau de Dustin Hoffman. OK, je ne
tourne pas autour de Central Park, et je ne dois pas affronter des meurtriers anciens
nazis du côté de Montrouge, heureusement ! Mais, rien de tel pour combattre
le froid et la morosité de l’automne.
Parce que la
meilleure chaussure anti-depressed,
la chaussure qui vous nettoie la tête, c’est la BASKET !
Yep!
(*= aussi beaucoup
de larmes car devant Cours, Forreeeest, cours !, je pleure et re-pleure.)
** Rab de régal avec IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE, mais là, rien à voir avec le footing. Ça fait quand même 3 films en une semaine = 3 bijoux.
samedi 3 novembre 2012
PARIS VU PAR HOLLYWOOD
Quand je pense « Paris au
cinéma », je pense presque comme un Américain fasciné par un Paris fait de
clichés, de rues pavées, de sons d’accordéons et d’élégantes parisiennes. Je
suis comme cet Américain qui rêve et imagine une ville de fantasmes et lâche presque
dans un soupir « Ah Pawis ! »
Sans doute, suis-je imprégnée des
images de Paris véhiculées depuis longtemps par le cinéma hollywoodien. Sans
doute.
Quand je pense « Paris au
cinéma », j’ai tout de suite en tête Gene Kelly et George Gershwin, Audrey
Hepburn et Cary Grant, Frantic (Aaah Harrison !), Les Aristochats (pour la
musique, le basset dans la meule de foin, et le coup de crayon, rien que ça),
French Cancan, ou même Ratatouille ... bref, tous les savoureux clichés, mais
néanmoins puissants et tenaces présents dans les films hollywoodiens.
Ce sont ces mêmes images qui me
sont revenues devant l’affiche de PARIS VU PAR HOLLYWOOD, exposition qui a lieu
actuellement à l’Hôtel de Ville du 18 septembre au 15 décembre.
Paris, ville de plaisir et de
raffinement, de sophistication, ville frivole et décadente ou tout ce que le
puritanisme américain conçoit en-dehors de son territoire.
Alors, quelle merveilleuse idée
de s’encanailler à Paris, dans cette ville de rêve, vue à travers une coupe de
Champagne puisque tout ça reste du cinéma !
Quelle belle idée, cette
exposition qui m’a permise, après 2 heures d’attente dans le froid, de me replonger dans le Paris-Paramount, le Paris-MGM, de sourire en voyant sur écran géant ces Parisiennes mondaines, élégantes et raffinées, scandaleuses
et séductrices, des comédies sentimentales des années 30 et 40,
D’admirer un Paris spectaculaire,
musical, aux airs de French cancan ou un Paris fantasme d’une bohème littéraire
et artistique, rythmé par les pas de Gene Kelly, dans les films des années 50,
De retenir mon souffle dans un
Paris lieu de complots, un Paris plus inquiétant enfin filmé en extérieur, dans
les vraies rues, loin des studios californiens, avec Cary Grant, Alfred
Hitchcock, puis plus tard Roman Polanski.
Tous ces films anciens ou récents
sont pour moi un régal, ils représentent un Paris fabriqué par Hollywood,
certes, mais qui a construit mon imaginaire de cinéma et de culture, que je
partage avec des milliers de spectateurs à travers le monde.
Une expo à faire, même si la
scénographie est un peu brouillonne et que déjà quelques textes de présentation
sont effacés (!) et qu’il faille se lever tôt pour éviter la longue file
d’attente.
Un joli résumé dans l’émission
Métropolis, de cet après-midi.
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