MAI, je continue ma
quête du papier idéal dans tout Paris pour vous confectionner avec amour de
jolis carnets, entre un weekend en Creuse où je découvre le lac de Vassivière,
mes séances d’ostéo et mes cours de calligraphie.
J’en profite aussi pour
tester LE SOURCIL SEMI-PERMANENT à l’Atelier du
Sourcil. Une sorte de tatouage très discret et très doux qui redessine la ligne
du sourcil. Ça s’estompe au fil des mois, ce n’est donc pas quelque chose de définitif,
mais ça évite de faire le sourcil au crayon, plus ou moins réussi, chaque matin.
Je suis ravie, c’est hyper discret, même si ça fait un peu mal…
Elle a raison Cristina
Cordula, ça change le regard, « c’est magnifaïque ! » Non, mais
quelle vie !?
JUIN / JUILLET,
j’attaque les sports extrêmes ! Je ne vois pas passer ces 2 mois tellement
je suis lancée.
A force de repenser au
yoga BIKRAM, j’ai fini par reprendre un cours.
Parce que cette fois, il faut que ça passe ! Après 3 cours pris comme ça, pour
voir, il y a quelques années, j’étais restée sur une impression horrible et
j’étais partie en courant avec la nausée en disant « c’est vraiment pas
pour moi, ils sont tous dingues, là-dedans ! »
Cette fois, je ne sais pas
par quel miracle ça a marché, mais j’ai eu le déclic ! Sans doute, parce
que je m’étais préparé mentalement, je savais à quoi m’attendre, que ça allait
être une épreuve ! Bon, c’est pas le VIETNAM
non plus, mais pas loin !
Vous le savez, il y a
plusieurs sortes de yogas, plus ou moins dynamiques, plus ou moins méditatifs. Le
Bikram est un yoga assez intense, voire Rock’n Roll.
On enchaîne 26 postures
(les asanas) pendant 1h30 dans une salle chauffée à 40° !! Et oui, c’est
là que c’est dur. Au début, tenir dans cette chaleur, on se dit qu’on n’y
arrivera jamais, qu’on va s’évanouir dès qu’on aura la tête en bas. On ne sue
pas, on coule littéralement dès les premières minutes. Mais, grâce à cette
forte chaleur, on élimine un max de toxines, les muscles sont tout de suite
chauds et les étirements plus profonds. Le piège étant de ne pas trop pousser
justement pour ne pas se faire mal. (Bien-sûr, je suis tombé dedans, Bim !)
On commence par un
exercice de respiration, puis par des postures d’équilibre, qui répondent aux
doux noms barbares d’Utkatasana « la pose curieuse », Tadasana,
« l’arbre », ou celle que tout le monde redoute, Trikanasana,
« le Triangle ». Ces postures d’équilibre, ce sont mes préférées,
elles font travailler la concentration, la détermination et l’endurance. Moi, je
commence à me la péter quand arrive Garurasana,
« l’aigle ». On s’enroule les bras, on s’assoie sur une chaise
imaginaire, on lance une jambe pour l’enrouler sur l’autre et on plie. On essaie
d’aligner tout ça sur une même ligne en tenant sur un pied. Je kiffe !
Mais, c’est un piège
car dès que l’on commence à être trop sûr de soi, on foire. C’est le côté
humble du yoga. En cela, chaque cours est différent car quand on croit que
c’est gagné, qu’on est tout fier, le cours ou même la posture d’après, on se
ramasse !
La posture que tout le
monde adore c’est le Savasana ! Elle n’a pas de traduction, c’est juste,
Savasana, « tu-bouges-plus » Mais, attention, tu crois qu’on dort,
mais non ! On reste concentré pour justement NE RIEN BOUGER, on n’essuie pas les gouttes de sueur, au point où on en est, on
s’en fout. On est content, on vient de vider sa bouteille d’1L5 comme si on
traversait le Mont Sinaï.
Cet asana fait la
transition entre les postures d’équilibre et les postures au sol. Et là, on
relâche complètement, le corps et l’esprit.
SAVASANA
Bien-sûr, il y a
certaines postures que je n’aime pas du tout et qui me filent carrément la
gerbe et c’est justement celles-là que je dois travailler… ARRGG!!
Viennent ensuite les
postures au sol pour étirer, muscler et masser différents organes et vous
recentrer sur l’essentiel. Et c’est là que ça devient intéressant. Vous
recentrer sur l’essentiel, c’est écouter les conseils du prof, se recentrer sur
soi ; caler son mental, son être intérieur avec sa progression physique,
sa posture sur le tapis.
Au début, on ne se rend
pas trop compte, mais, ça fait un bien fou. C’est vrai qu’il faut pratiquer
régulièrement, 2 à 3 fois/semaine minimum si on veut ressentir les bienfaits
thérapeutiques, mais ça vaut le coup, c’est indéniable. Et cette fierté, en
sortant du cours, c’est assez puissant, j’avoue. Ça a eu sur moi, un effet dingue.
J’adore !
D’ailleurs, je ne dis plus « je fais du yoga », je dis
"JE PRATIQUE".
NAMASTE.
…/…
ca donne envie raconté comme ca !!! mais moi qui fait de l hypo tension par sur que je tienne à 40 degrés.
RépondreSupprimerTu pourrais peut-être faire un cours pour essayer ?
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